Les pépiniéristes étaient de nouveau en plein travail toute la journée d'hier.

Les murs largement recouverts de lierre et de vigne vierge finissaient par disparaître, et surtout la végétation risquait d'atteindre les toitures et de soulever les tuiles.

Aux grands maux, les grands remèdes. Une équipe de quatre jardiniers armés de tout le matériel lourd nécessaire, chargés également de débarrasser les déchets végétaux par tombereaux entiers.

Je retrouve des détails que l'on ne voyait plus comme la statuette du chevalier de retour de la croisade disparue sous les feuillages.

Même à mi parcours, on constate la différence, la maison sort comme d'une gangue. On en profite pour déloger un nid de frelons installé entre les pierres de la façade.

En ce premier jour de l'été, le temps fut gris, plombé, il fallait travailler entre deux averses.

Un temps dédié à la lecture.

On a même dû déplacer un nid caché dans les feuilles ...

J'espère que la mère engoulevent retrouvera ses deux oeufs avant qu'un animal de la forêt ne les lui prenne.

Spectaculaire est l'aspect avant/après.

Entre les gouttes d'eau éparses, il ne fait pas trop chaud pour cet été ... mais nous attend ions encore des orages.

Pas longtemps puisqu'il nous a tenues éveillées jusqu'à deux heures, avec coupure d'électricité et des éclairs comme en plein jour.